En effet, afin de devenir actionnaire, il est dans le devoir d’une entreprise de financer les activités d’une entre société. Ainsi, pour assurer la rentabilité, le niveau de risque et de la volatilité de cette dernière est à prendre compte. A cet effet, les sociétés d’investissements sont détenues sur une structure institutionnelle notamment, financières, ou autres organismes publiques. De ce fait, il existe différentes formes de placement.
Les différentes formes de société d’investissement
Envisager un placement a pour objectif de fructifier son capital. La condition garante d’un projet relève d’une bonne gérance de ce dernier. A ce propos, les formes de société de gestion varient selon leurs fonctionnements, ou leurs secteurs d’intervention. En premier lieu, la société d’investissement personnelle dotée de la personnalité juridique. De ce fait, les sommes investis génèrent des plus-values distribués aux actionnaires.
Par ailleurs, les fonds propres privés est un placement réalisé dans une société non cotée en bourse. En effet, ce type d’investissement peut être exécuté autant par des institutions financières que par des personnes. Il peut également être un apport capital lors d’une levée de fonds. Enfin, le fonds d’investissement immobilier dont le placement est dans le secteur immobilier par le biais du marché boursier.
Procédure de création d’un fonds d’investissement
Comme dans toutes les entreprises, les sociétés d’investissement sont encadrées par les articles suivant du Code monétaire et financier. Elles comportent des formalités juridiques notamment, la demande d’agrément AMF, la rédaction des statuts et la déclaration de l’objet du fonds. Ainsi, en investissant, on participe à la croissance économique au-delà de la simple croissance de son capital.